Il s’observe un manque criant d’eau potable dans plusieurs sites des déplacés depuis un moment dans le terroir de Nyiragongo.

Selon la société civile locale, les filles et femmes parcourent des longues distances pour se ravitailler en eau potable et elles se voient exposées à plusieurs maladies au côté du risque d’être voilées, à la société civile d’indiquer que cette couche de la population a difficile à assurer son hygiène surtout pendant leur menstrue.

Bosenibamwe Muzungu acteur de la société civile à Nyiragongo appelle le gouvernement et tous ses partenaires à agir très vite pour limiter les dégâts et remettre ces citoyens dans des conditions favorables.

Notre source ajoute que ces camps des déplacés renferment en moyenne près de 4000 ménages, et il y’a plus d’un mois qu’ils vivent dans des conditions apparemment humaines.

Joël BALUME

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