Les jeunes entrepreneurs de la ville de Bukavu, incubés par l’Institut International d’agriculture (IITA) dans les projets SYMUF première cohorte, de la Banque Africaine de Développement (BAD), ont envoyé un cri de détresse au PDG de BAD pour manifester leur indignation à travers ce projet.

Le projet SYMUF lancé le 19 octobre 2022 par la BAD, visait à créer d’emploi et à améliorer les moyens des substances de jeunes entrepreneurs de trois pays dont la République Démocratique du Congo, Ouganda et le Nigéria. Commencé à Bukavu le 27 mars 2023 à la station de l’IITA/Kalembo, ces jeunes déplorent sa clôture avec la remise de brevets sans sceau et sans officiels en date du 11 janvier passé.

Ce projet ayant fait plus de trois mois, les jeunes entrepreneurs de Bukavu ont souligné que cette durée a impacté négativement sur leur activités pourtant lesquelles ils dépendent. A la suite de ce fléau et se référant à ce qui a été déclaré lors du lancement de ce projet dans l’article apparu sur Google le 20 octobre 2022, ces jeunes ont adressé leurs questions au PDG de la BAD qui est l’initiateur de ce projet se demandant si les objectifs de ce projet ont été réellement atteints en République démocratique du Congo, leur partenaire qui aura à rendre des comptes dans le cadre de dettes publiques et qui devrait compter aux jeunes autonomes supposés accompagnés dans ce projet.

Ils ont également, dans cette même lettre, demandé au PDG de la Banque Africaine de Développement s’ils peuvent avoir des entreprises des jeunes entrepreneurs ayant participé dans ce projet qui sont pourtant bancables ont-ils déclaré. Ils n’ont pas manque de demander au PDG de la Banque Africaine de Développement combien d’emplois créés dans ce projet et quels moyens de substances ont été améliorés à Bukavu, au Sud Kivu.

Estimant que leur temps a été gaspillé inutilement pourtant le temps c’est de l’argent, il appelle à l’implication de PDG de la BAD en espérant qu’il sera touché par leur cris de détresse.

Par Akam Katavali/Ruzizilaplume

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