La coupure d’Internet d’environ une semaine à ville de Goma, au Nord-Kivu, a eu des répercussions importantes dans divers domaines, notamment les médias en ligne, le commerce électronique et l’accès à l’information, en particulier dans le contexte de la crise sécuritaire dûe aux affrontements entre les FARDC et le M23 dans ville Volcanique.

Jointe par votre média, Madame Bilieve journaliste travaillant à Brave TV, un média en ligne local des femmes journalistes émettant sur YouTube a souligné que cette coupure a entravé son travail de diffusion d’informations, considérant cela comme une atteinte à la liberté d’expression et au droit à l’information.

‹‹ Cette situation n’a pas été facile pour nous qui travaillons dans des médias en ligne, on a été obligé de chômer pendant toute une semaine ›› a t-elle souligné. Elle a fait savoir que malgré les informations que le média détenait, c’était impossible de les diffuser. Cette situation a été la même pour les autres médias en ligne.

Un habitant de Goma qui a gardé l’anonymat, a également insisté sur le fait que la coupure d’Internet constitue une violation du droit à l’information, soulignant le rôle d’Internet dans l’accès à l’information pour une population de moins en moins tournée vers les médias traditionnels. Il appelle les autorités à garantir le droit à l’information, en particulier en période de crise sécuritaire comme celle que vit la ville de Goma.

La coupure d’Internet a donc perturbé le travail des médias et affecté le commerce électronique, ainsi que limité l’accès à l’information pour les habitants de Goma.Rappelons que la coupure de l’internet a été consommé depuis le lundi 27 janvier 2025 alors que la ville vivait la guerre. L’internet a été rétabli ce lundi 3 février chose qui a soulagé la population toute entière. Mais malgré son rétablissement, la ville a du mal à accéder au réseau X (ex-twitter).

Akam Katavali

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