la situation de la fille accusée de lesbienne devient de plus en plus complexe et dure suite à une relation amoureuse que la fille a entretenu avec une autre fille, ancienne collègue de sa classe.

Ce 6 novembre 2014 Selon nos sources, c’est depuis quelque années que la fille s’étaient séparés suite à une énorme pression d’ordre social, coutumier et même juridique en RDC.

Les relations amoureuses entre deux personnes de même sexe n’est jamais accepté, un acte considéré comme abomination à l’esprit saint et de troublant d’ordre public, d’immoralité extrême et portant atteinte aux bonnes mœurs. Quelques mois, parmi ce deux filles l’une à fait le voyage et l’autre qui est reste au pays à été la cible régulière de menace d’arrestation et inculpation en vertu de l’article 176 du Code pénal qui pénalise l’outrage aux bonnes mœurs, et leur relation avec sa copine a été qualifiée de relation contre bonnes mœurs par les autorités judiciaires et les droits civils et politiques des personnes perçues comme telles, étaient systématiquement violées.

Selon le président de la société civile d’ibanda CIMANUKA MUSHARAMINA la fille était à l’Eglise où les responsables religieux exprimaient publiquement leur rejet à toute relation amoureuse entre les personnes de même sexe, traitant celle-ci de matériel didactique et associaient les comportements sexuels du même sexe au satanisme dont la fille était perçue comme un Satan de son image, president de la societe civile a témoigné que les pasteurs utilisaient la télévision pour diffuser le message que les homosexuels brûleront dans les flammes de l’enfer dont la fille. Quelques chose que d’autres fidèles ont jugé d’inadmissible et ont voulu tuer la fille pour ne pas influencer d’autres filles de leur église.

Signalons que les membres de la famille de la fille sont actuellement considérés comme de cible à abattre, seul le président de la société civile d’ibanda invite la population de rester calme et laisser la justice faire sont travail.

Partager: