À l’aube de la saison de pluie dans la ville de Bukavu , le délabrement de certains tronçons inquiète des usagers. C’est le cas des tronçons routiers Pas-à-Pas -Cimpunda et Lycée-Karhale.

La Nouvelle Dynamique de la Société Civile (NDSCI), se dit toujours inquiète de cette dégradation au niveau des places dit Yesu-Yesu 1 et 2 sur ces deux routes.

Le Rapporteur et Secrétaire provincial de cette structure pense que les dispositions devraient être prises bien avant avant que la saison sèche ne touche à sa fin.

À en croire cette structure, une fois la saison de pluie terminée, la situation sur ces deux tronçons va échapper à tout contrôle.

Cet état de chose pousse déjà les usagers dont les chauffeurs et piétons à craindre ce coup de massue qui les attend sous peu pendant la période pluvieuse.Les conséquences s’annoncent donc graves comme par exemple l’inaccessibilité des engins roulants à Cimpunda, des accidents routiers à cet endroit pour ne citer que cela.

Face à ce tableau alarmant, les autorités semblent indifférent.

Très préoccupé de la gravité de misère ,Alain MUTIKI alerte les autorités à agir dans l’extrême urgence.

«nous sommes entrain d’alerter les autorités à ne plus continuer à agir à gérer les conséquences mais plutôt agir en amont en prévenant tous les risques socioéconomiques qui se pointent à l’horizon vis à vis de la traversée de cette partie de la route donc, nous sommes entrain de les interpeller, d’interpeller la conscience de ces autorités à agir parce que sur place ,il ya déjà des nids de poule, les effondrements de terre ,il ya affaissement du sol et tout cela peut entacher la vie socioéconomique des ménages et surtout que cette population a toujours crié ,a toujours déploré la manière de gérer, d’être délaissée par les gestionnaires de cité qui sont les autorités au niveau communal, au niveau de la mairie ,au niveau de la province pourquoi pas au niveau du pays », laisse-t-il entendre.

« Il sera très pitoyable et horrible même aux gestionnaires de continuer à gérer les conséquences en lieu et place de les prévenir », a t-il conclu.

Élie Bulambo

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