La maison de télécommunication Airtel- Bukavu prise en tenaille la matinée de ce mercredi 6 septembre par des consommateurs sur appel du bureau de la société civile bureau-urbain.
Il est reproché à cette maison de fournir un service de mauvaise qualité à ses clients et laisser que ces services servent aux kidnappeurs de rançonner les familles en cas d’enlèvement des personnes.
Devant un bureau D’airtel vidé de ses agents .les manifestants ont exigé la fermeture et la cessation des toutes les activités commerciales qu’effectue cette maison.
Vers 10h, ils étaient déjà devant la porte de la maison de télécommunication Airtel en scandant des chansons hostiles à ce réseau des smartphones. sur les effigies des manifestants on pouvait lire
« votre complicité dans les enlèvements et kidnapping n’est plus à démontrer, nous exigeons la fermeture de airtel, Airtel trop c’est trop rembourser nous nos crédits car tu exagères Ayant pris part à cette manifestation ››
Paulin MULUME, un jeune leader pense tout de même que airtel a excellé dans le mauvais service rendu à ses aimables clients, toute fois le plus important serait de fermer ses portes
« c’est dans l’objectif de demander aux dirigeants de chasser ou de fermer ces maisons de communication qui nous pourrissent la vie, il est inacceptable aujourd’hui que nous puissions être le pays le plus riche mais nous payons la connexion la plus chère du monde même les pays limitrophes ici, ils ont une plus moins chère connexion et de bonne qualité malheureusement nous à part le fait que nous achetons cette connexion très chère ,nous avons une connexion la plus mauvaise du monde c’est inacceptable les autorités doivent prendre des mesures nécessaires et urgentes pour mettre ces mais hors d’état de nuire ,il y a des kidnappeurs qui utilisent les numéros de ces maisons de communication et ils rançonnent les paisibles citoyens et sous la barbe de responsables de ces maisons de communication »
D’autres actions des grandes envergures seront organisées s’ils ne trouvent pas gain de cause ont fait savoir les manifestant.
Élie Bulambo